ch'ti savoyard a écrit :dustynova a écrit :
par contre quand tu pars en vacances, pas sur de retrouver ta maison sans cambriolage. Mais là, il y a moins d'effectifs mobilisés.
je ne peux plus les voir. Pourtant, pour ma part, j'ai 12 points et 2 contraventions en 20 ans de permis.
La langue française est assez riche pour exprimer son mécontentement sans basculer dans les insultes !
Le sociologue Laborit explique que la violence est une réponse à quelque chose de subi contre lequel on est impuissant. Voilà le pourquoi de ma réponse. Quand tu te fais arrêter, tu dis "oui monsieur" sous peine d'agraver ton cas. Et quand tu allumes ton poste TV, tu constates qu'au regard des circonstances atténuantes trouvées pour les violeurs, les politiques verreux et j'en passe, et bien le véritable délinquant c'est toi au regard du traitement que tu subis et là, il y a dans ton esprit comme un décalage.
je me rappelle de ma seconde et dernière contravention c'était la veille du second tour des présidentielles de 2005 : " vous savez bien monsieur que nous sommes ici pour rapporter de l'argent à vous-savez-qui. Alors votez bien".
Tu parles, comme si le vote changeait quelque chose à ce pays, en choisissant entre la peste et le choléra. Pas de comptabilisation des votes blancs, et après les politiques ont le culot de s'auto-congratuler en disant qu'ils ont été élus avec 52% des voix.
La répression routière est l'exemple parfait de la recherche du contrôle des populations, afin de les asservir un peu plus, et pour ce faire, on applique de façon ultra stricte une loi afin de rendre les moutons encore plus dociles. on se cache derrière un fléau inexistant façon armes de destruction massive afin de faire passer la pilule. La preuve ?
4000 morts par an, rapporté au quotidien ça fait 10 morts par jour.
rapportés au nombre de gens qui prennent la route, soit 100 millions par jour (au bas mot) ça fait...
0.00001 chance sur 100 de mourir d'un accident de voiture.
Ah ben oui, c'est déjà moins vendeur que les 4000 morts par an.
Difficile, présenté ainsi, de justifier cette répression "sécuritaire" et accessoirement... lucrative.